ÉCONOMIE
Annonce du lancement prochain de FINUSECO : Vers une nouvelle ère du service financier numérique en RDC
Annonce du lancement prochain de FINUSECO : Vers une nouvelle ère du service financier numérique en RDC

Nous avons le plaisir d’annoncer que notre entreprise est sur le point de franchir une étape décisive avec le lancement officiel de FINUSECO. Après une période intensive de développement et d’optimisation, nous avons travaillé avec rigueur pour garantir l’intégrité et la sécurité de notre système financier numérique. Chaque détail a été minutieusement perfectionné, et nous sommes désormais prêts à passer à la phase suivante.
Dans le cadre de notre stratégie d’évolution, nous avons pris la décision de renommer notre produit phare, précédemment appelé LoanMe SFN, sous le nom de notre entreprise : FINUSECO. Cette décision, fruit de longues réflexions et de consultations avec des experts et nos conseillers, reflète mieux notre vision et notre mission de modernisation du secteur financier en République Démocratique du Congo.
FINUSECO, signifiant Financial Numeric Service Congolese, incarne notre engagement envers la digitalisation du secteur financier et notre volonté de fournir des solutions numériques adaptées aux besoins du pays. Ce changement de nom marque une unification de notre identité de marque, positionnant FINUSECO comme une entité globale, au-delà d’une simple application. En effet, FINUSECO englobe une gamme de services et d’applications interconnectés, répondant aux besoins variés de nos clients et renforçant notre offre numérique.
LoanMe reste un service intégré au sein de FINUSECO, accompagné de nouveaux produits tels que Cash Express et d’autres services à venir. Ce changement vise à renforcer notre image et à affirmer notre engagement envers la transformation numérique en RDC.
Le lancement officiel est prévu avant le début de l’année 2025. En 2024, nous nous concentrerons sur une planification stratégique approfondie et les initiatives nécessaires pour garantir un succès pérenne. Des sessions de formation et des entretiens seront organisés afin de préparer tous les membres de notre équipe à relever ce défi avec succès.
2025 sera l’année du succès de FINUSECO. Nous vous remercions tous pour votre soutien infaillible et votre engagement dans cette aventure qui transformera le paysage financier de la RDC.
Ensemble, faisons de FINUSECO le pilier de la finance numérique au Congo !
ÉCONOMIE
Commerce international : Le ministre Julien Paluku dénonce la décision de l’UE visant à limiter l’importation du cacao et du café congolais en Europe


La décision de l’Union européenne (UE) de restreindre l’importation du cacao et du café en provenance de la République démocratique du Congo (RDC) suscite de vives réactions.
Sans détour, le ministre du Commerce extérieur, Julien Paluku Kahongya, a déclaré lors d’un point de presse co-animé avec son homologue de la Communication et Médias, Patrick Muyaya Katembwe, que « la justification de cette décision est discutable; cependant, le Gouvernement congolais a souhaité faire savoir à l’opinion publique que le café et le cacao congolais ne proviennent pas des régions touchées par la déforestation
Julien Paluku Kahongya a insisté sur le fait que « le café et le cacao de la RDC ne sont pas cultivés dans des zones affectées par la déforestation sur ses terres agricoles.
Ainsi, ils ne devraient pas être pénalisés en décembre 2025 en raison de la déforestation
Vers une approche de réciprocité en matière de diplomatie commerciale
Pour le ministre Julien Paluku Kahongya, face à cette pression économique imposée à la RDC, le Gouvernement congolais n’hésitera pas à adopter une approche de réciprocité en matière de diplomatie commerciale et économique, si l’Union européenne mettait en œuvre sa décision, mettant ainsi en péril ses intérêts.
Des actions correctives à mettre en place
Le Gouvernement, qui souhaite rassurer les opérateurs économiques et agriculteurs congolais, a pris plusieurs mesures, selon le ministre Julien Paluku Kahongya.
Parmi celles-ci, on trouve la mise en place d’un dialogue tripartite RDC-UE-MONUSCO, le renforcement de l’ANAPEX (Agence Nationale pour la Promotion des Exportations), de l’ONAPAC (Office National des Produits Agricoles du Congo) et de l’OCC (Office Congolais de Contrôle) pour certifier les produits made in Congo.
De plus, le gouvernement prévoit de créer un couloir vert entre le Kivu et Kinshasa, de délimiter trois types de zones (agricoles, forestières et urbanistiques), de mettre en place une bourse congolaise pour permettre au pays de participer à la détermination des prix de ses matières premières stratégiques, ainsi que d’intensifier le développement des Zones économiques spéciales pour favoriser la transformation locale des ressources naturelles et diversifier les marchés, en tirant parti des opportunités offertes par l’AGOA aux États-Unis, ainsi que des accords signés avec la Chine, le marché indien, africain et européen.
ÉCONOMIE
Validation des pertes et des revenus non réalisés : le procès-verbal des créances et dettes des entreprises pétrolières signé en présence du Vice-Premier Ministre Mukoko Samba


Le Vice-Premier Ministre et Ministre de l’Économie Nationale, Daniel Mukoko Samba, a conduit, le lundi 23 décembre 2024, une cérémonie de signature du procès-verbal de validation des pertes et des revenus non réalisés ainsi que des créances de l’État envers les entreprises pétrolières, établis au terme du premier semestre 2024.
Cet événement a marqué la conclusion des travaux de la Commission d’amortissement, l’organe technique du Comité de suivi de la structure tarifaire des produits pétroliers. Débutés le 6 décembre 2024, ces travaux ont rassemblé des représentants de diverses entités publiques (Présidence, Primature, Économie Nationale, BCC, DGDA), de la FEC et des entreprises pétrolières (SOCIR, SEP CONGO, LEREXCOM, SONAHYDRO, COBIL, SPA/COBIL, TOTAL ENERGIES, ENGEN
Les résultats des travaux indiquent qu’après avoir croisé les pertes et revenus non réalisés des entreprises pétrolières avec les créances de l’État au premier semestre 2024, l’État doit un montant net de 16.043.984 USD à la profession pétrolière.
Il est important de rappeler qu’au cours des quatre dernières années, les pertes et manques à gagner de l’État ont été en moyenne de 340.796.000 USD par an, soit 170.398.000 USD par semestre
Cette avancée significative est le résultat de l’application stricte des dispositions de l’Arrêté interministériel N°008/CAB/VPM/MIN/ECONAT/VKLK/ADM/NSW/DM/2024, N°001/CAB/MIN/FINANCES/2024 et N°M-HYD/DBN/TDC/002/CAB/MIN/2024 du 09 février 2024, ainsi que d’un contrôle rigoureux sur le reversement à l’État des ressources publiques liées à la structure des prix des produits pétroliers par les entreprises pétrolières.
Le Vice-Premier Ministre a exprimé ses félicitations aux participants pour leurs efforts. Il a réaffirmé son engagement à maintenir l’esprit de dialogue qui a prévalu lors des travaux de la Commission entre le secteur public et le secteur privé
« Je reste fermement déterminé à préserver ce dialogue.
Nous allons continuer dans cette dynamique de concertation que je suivais de près, sous l’impulsion et les orientations de leurs Excellences Monsieur le Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi, ainsi que de la Première Ministre, Cheffe du Gouvernement, Judith Suminwa Tuluka », a déclaré le Vice-Premier Ministre
De plus, le Vice-Premier Ministre a expliqué à la Plénière que le niveau élevé des pertes et revenus non réalisés impacte le fonctionnement des entreprises pétrolières tout en alourdissant la dette publique de l’État. C’est pourquoi il a placé la maîtrise de ces pertes et manques à gagner parmi les priorités de son Ministère.
Il est à noter que les pertes et revenus non réalisés certifiés à la fin décembre 2023 ont été intégralement remboursés aux entreprises pétrolières.
Actualité / Média
Le Ministre de l’Économie Rappelle l’Obligation d’Affichage des Prix aux Opérateurs Économiques

Il a également souligné l’importance de fournir systématiquement des factures normalisées aux acheteurs
De plus, le document du ministère précise que les ventes conditionnées ou simultanées sont formellement interdites.
Ces mesures ont pour objectif d’assurer une transparence totale sur les prix et de lutter contre la spéculation.
En conséquence, Daniel Mukoko Samba a mis en garde les importateurs, grossistes, semi-grossistes et détaillants en leur indiquant que tout manquement à ces exigences entraînera des sanctions sévères, pouvant aller jusqu’à la fermeture de leurs établissements.
La rédaction
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